Alain Magloire n'était pas agressif dans les minutes précédant sa mort, selon un militant contre la brutalité policière qui se trouvait par hasard sur son chemin le jour fatidique du 5 février 2014.
Alain Magloire n'était pas agressif dans les minutes précédant sa mort, selon un militant contre la brutalité policière qui se trouvait par hasard sur son chemin le jour fatidique du 5 février 2014.