C’est en raison du profil des individus visés, de la crainte que de la preuve soit détruite et parce que des évènements de violence étaient survenus dans ce secteur de Montréal-Nord à cette époque que le groupe tactique d’intervention (GTI) a été appelé à intervenir lors de la perquisition au cours de laquelle Bony Jean-Pierre est mort, atteint à la tête par une balle de plastique tirée par un policier casqué, le 31 mars 2016.